La nouvelle collection estivale de la marque française arbore un éclatant jaune citron, pour une tou
C’est un objet intemporel qui se transmet de génération en génération : la cocotte Staub a une place de choix dans les cuisines des Français et ce, depuis sa création à la fin des années 1970.
La cocotte Staub est l’un des symboles de la culture gastronomique française, plébiscitée aussi bien par les adeptes des saveurs d’antan que par les aficionados d’une gastronomie bistronomique et moderne. C’est en 1978, soit 4 ans après la création de la société par Francis Staub, que la première cocotte est apparue dans sa forme actuelle avec son célèbre couvercle à picots, fruit des échanges entre Francis Staub et de grands chefs, en particulier Paul Bocuse et Joël Robuchon.
Sa conception fait d’elle un objet technique : les picots du couvercle permettent une condensation homogène sur la préparation ; la cuisson dans l’émail (verre) garantit une cuisson saine sans migration avec le corps de chauffe ; l’émail mat permet d’obtenir rapidement la réaction de Maillard.
Compatible tous feux et induction, la cocotte est même utilisable au four ou sur des braises. S’adaptant aux évolutions des tendances de consommation, la marque a étoffé au fil des ans son offre avec de nouveaux modèles, des formes plus ou moins insolites et des coloris acidulés ou plus traditionnels. Le noir Staub reste le choix n°1 des chefs et du grand public en France, tandis que les pays asiatiques favorisent les teintes pastel. Les États-Unis apprécient quant à eux les coloris majoliques. Les coloris les plus vendus en France sont le noir, le rouge et le coloris blanc truffe.
Chaque année, 1,6 million de pièces sont fabriquées sur le site de Merville (Nord). L’entreprise emploie 350 salariés répartis dans trois usines : fonderie, sablerie, émaillerie. Plus de 90 % de la production partent à l’export dans une centaine de pays (en particulier aux États-Unis, au Japon, en Chine et en Corée). Staub est détenu depuis 2008 par le groupe Zwilling.